Est-ce facile d’être père !
Je ne voudrais pas faire d’impair,
Mais je crois que cela n’est pas clair,
On navigue par tous les temps, même sous les éclairs.
Il faut essayer de garder les pieds sur terre,
En restant le plus possible terre à terre.
Un guide pour expliquer comment faire,
S’il existait cela serait une bonne affaire.
Je dirais même plus extraordinaire !
Mais il faut rester dans l’ordinaire.
On gère l’éducation au fil de l’eau
De la terre on passe à l’eau.
Sans avoir l’air, on a changé d’élément,
En rajoutant dans ce texte un peu de piment.
Il y a des jours cela est chaud !
On se retrouve comme des marrons dans un show !
Petits, ils sont collés à nous comme des aimants.
En grandissant, ils s’éloignent, on le ressent.
Cela n’est pas clair !
Mais cela est dans l’air,
De l’eau on passe à l’air.
Sans avoir l’air, on a changé d’élément,
En rajoutant dans ce texte un peu de piment.
L’adolescent a besoin d’air,
Le père ne sait pas quoi faire.
Il faut leurs laisser de la liberté !
Laisser s’exprimer leurs pubertés.
Il ne faut pas arrêter de les écouter.
Même si souvent on se met à douter.
On se demande si on peut les désenvoûter.
Au dialogue, il faut s’arc-bouter !
Puis l’adolescent grandit,
Le père se sent ragaillardit !
Un jour l’adolescent peut devenir père,
Dans ce cas le père deviendra grand-père !
Le cycle recommence,
On repart pour une nouvelle danse.
Il suffit de reprendre le texte au début,
Trouver la solution de ce nouveau rébus.
Je ne parle que de père,
Mais c’est pareil pour les mères.
Il suffit de changer le « p » par un « m »,
Sinon c’est les mêmes thèmes,
Rajouter un « e » à la fin de certain mot.
On remarque que l’on est des vrais jumeaux.
Et pour le feu, il fait quoi ?
Il fera se qu’il pense adéquat,
Son estomac ressemble à un volcan,
Ou est présent un fluide suffocant.
Avec cette envie de lâcher,
Cette éruption de se fâcher.
Mais il faut le maîtriser,
Et arriver à le canaliser.
Pour qu’il soit un carburant pour la vie.
Et non pas un poison, une survie !